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Dactylioceras orthodactylites hispanum Toarcien inférieur Vendée ammonite fossile

Dactylioceras (Orthodactylites) hispanum

Dactylioceras orthodactylites hispanum Toarcien inférieur Vendée ammonite fossile

Spécimens  W62 et U22 – Vendée, FRANCE

Diamètres : 33 et 30 mm

Collection Patrick Bohain

Toarcien inférieur

Dactylioceras (Orthodactylites) hispanum

(Schmidt-Effing, 1972)

Phylogénie

Famille : Dactylioceratidae Hyatt, 1867

Sous-famille : Dactylioceratinae Hyatt, 1867

Genre : Dactylioceras Hyatt, 1867

Sous-genre : Orthodactylites Buckman, 1926

Bibliographie

Publications paléontologiques de référence :  

. SCHMIDT-EFFING R. (1972) – Die Dactylioceratidae eine Ammoniten – Familie des Unteren Jura (Systematik, Stratigraphie, Zoogeographie, Phylogenie, mit besonderer Berücksichtigung spanischen Materials). Sonderauflage der Münsterschen Forschungen zur Geologie und Paläontologie. Heft 25/26. 

. LACROIX P., RULLEAU L. (2016) – Les Dactylioceratidae du Toarcien inférieur et moyen de l’Ouest de la France récoltés par Marc Bécaud. Le Naturaliste Vendéen N°12 : 3-33.

.RULLEAU L., LACROIX P., BECAUD M. & LE PICHON J.P. (2013) – Les Dactylioceratidae du Toarcien inférieur et moyen. Une famille cosmopolite. Dédale éditions

. BOHAIN P. (2025) – Les ammonites du Toarcien inférieur de la Vendée (France). Paléontologie, Biostratigraphie, Paléogéographie. Patrimoine de la Vendée, Géologie – Paléontologie.

 

Description

Forme générale : 

Section des tours : 

Ornementation : 

Diamètre maximal de l’espèce : 

Âge

Toarcien inférieur

Zone à Tenuicostatum, sous-zone à Semicelatum, horizon à Semicelatum

Répartition géographique

  • France : Vendée, 

Remarques

Parmi les espèces contemporaines de l’horizon à Semicelatum, D. (O.) hispanum se distingue de D. (O.) semicelatum par ses côtes primaires plus aiguisées et espacées dans les tours internes et par le relief pincé du point de division des côtes. Son diamètre maximal semble par ailleurs plus faible. Elle se différencie de D. (O.) ernsti par ses flancs plus convexes, sa forme plus fermée et ses côtes primaires qui ont un espacement constant sur toute la coquille.
Elle est proche de D. (O.) crassifactum, qui toutefois montre une section de tour plus arrondie et épaisse et des côtes primaires plus distantes et rectiradiées à diamètre identique.
Elle s’écarte de D. (O.) anguinum par sa forme moins serpentiforme.