Actualités

Zigzagiceras (Zigzagiceras) zigzag

Spécimen KD1 – Vendée, FRANCE

Diamètre : 48 mm

Collection Patrick Bohain

Bathonien inférieur

Zigzagiceras (Zigzagiceras) zigzag

(d’Orbigny, 1846)

Phylogénie

Famille : Perisphinctidae Steinmann, 1890

Sous-famille : Zigzagiceratinae Buckman, 1920

Genre : Zigzagiceras Buckman, 1902

Sous-genre (microconque) : Z. (Zigzagiceras) Buckman, 1902

Bibliographie

Publications paléontologiques de référence : 

. ARKELL W.J. (1950 – 1958) – Monograph of the English Bathonian Ammonites. Palaeontographical Society.

. MANGOLD C. (1970) – Les Perisphinctidae (Ammonitina) du Jura méridional au Bathonien et au Callovien. Document des Laboratoires de Géologie de la Faculté des Sciences de Lyon, n° 41, fascicule 2.

.STURANI C. (1966) – Ammonites and Stratigraphy of the Bathonian in the Digne-Barrême area (South eastern France, dept. Basses-Alpes). Bolletino della Societa Geologica Italiana, Vol. 1, n° 5

. FISCHER J.-C. (coord.) (1994) – Révision critique de la Paléontologie Française d’Alcide d’Orbigny. vol. I, Céphalopodes jurassiques. Ed. Masson.

 

Description

Forme générale : 

Section des tours : 

Ornementation : 

Diamètre maximal de l’espèce : 

Âge

Bathonien inférieur

Zone à Zigzag, Sous-zone et Horizon à Yeovilensis

Répartition géographique

  • France : Vendée, 

Remarques

Le sous-genre Zigzagiceras regroupe les formes microconques et le sous-genre Procerozigzag Arkell 1953, les formes Macroconques correspondantes (principalement du Bathonien inférieur). 

Plusieurs espèces de Z. (Zigzagiceras) créées pour qualifier des formes microconques du Bathonien inférieur (des Horizons à Macrescens et Yeovilensis notamment) sont probablement à mettre en synonymie et mériteraient une révision. En effet, d’après nos observations sur les différentes coupes vendéennes, les espèces Z. (Z.) zigzag, plenum et euryodos cohabitent dans les mêmes Horizons et montrent un « stade zigzag » plus ou moins long selon les spécimens, sans qu’il soit possible d’en conclure qu’une espèce pourrait donner naissance à l’autre dans un ordre chronologique. La seule clé de distinction repose finalement sur l’augmentation plus ou moins rapide de la section du dernier tour et de la loge d’habitation. Cette observation pourrait probablement permettre des rapprochements entre les microconques et les Macroconques contemporains à tours adultes comprimés, moyennement épais ou très épais.