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Wagnericeras sericonstrictione

Spécimen JV3 – Vendée, FRANCE

Diamètre : 125 mm

Collection Patrick Bohain

Bathonien supérieur

Wagnericeras sericonstrictione [M]

(Mangold, Martin & Prieur, 2012)

Phylogénie

Famille : Perisphinctidae Steinmann, 1890

Sous-famille : Zigzagiceratinae Buckman, 1920

Genre(Macroconques et microconques) : Wagnericeras Buckman, 1921

 

Bibliographie

Publication paléontologique de référence : 

. Les Perisphinctidae (Ammonitina) du Jura méridional au Bathonien et au Callovien. Charles MANGOLD. 1970. Document des Laboratoires de Géologie de la Faculté des Sciences de Lyon, n° 41, fascicule 2.

. Les Perisphinctidae du Bathonien moyen et supérieur du Mâconnais (Saône-et-Loire, France). Charles MANGOLD, Arnaud MARTIN et Abel PRIEUR. 2012. Documents des Laboratoires de Géologie, Lyon, n° 169.

 

Description

Forme générale : 

Section des tours : 

Ornementation : 

Diamètre maximal de l’espèce : 

Âge

Bathonien supérieur

Zone à Fortecostatum, Sous-zone à Blanazense, Horizon à Quercinus

Répartition géographique

  • France : Vendée, 

Remarques

La distinction entre les Wagnericeras et les Homoeoplanulites à la charnière du Bathonien moyen et supérieur reste délicate. D’autant plus que le style de costulation interne constitué de côtes légèrement proverses simples et denses est très proche. Il en va de même pour la section des tours qui dans les deux cas devient plus élevée qu’épaisse sur le dernier tour et la loge d’habitation. Les 2 genres présentent également de fréquentes constrictions. Les tours des Wagnericeras tardives se différencient néanmoins par leur épaisseur maximale en bas des flancs et par le relief des côtes secondaires ou intercalées qui reste important sur le dernier tour et la loge. Les Wagnericeras ne semblent pas présenter d’effacement des côtes au passage siphonal sur le ventre (caractère important de détermination des Homoeoplanulites).

L’espèce présentée ici couvre les Horizons à Fortecostatum de la Zone à Bremeri et à Quercinus de la Zone à Fortecostatum. Elle semble être le dernier représentant du genre à s’effacer à la base du Bathonien supérieur.