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Indosphinctes (Indosphinctes) errans

Spécimen LA8 – Vendée, FRANCE

Diamètre : 145 mm

Collection Patrick Bohain

Callovien inférieur

Indosphinctes (Indosphinctes) errans

(Spath, 1931)

Phylogénie

Famille : Perisphinctidae Steinmann, 1890

Sous-famille : Zigzagiceratinae Buckman, 1920

Genre : Indosphinctes Spath, 1930

Sous-genre (Macroconque) : I. (Indosphinctes) Spath, 1930

Bibliographie

Publications paléontologiques de référence : 

. SPATH L.F. (1927 – 1933) – Revision of the Jurassic Cephalopod fauna of Kachh (Cutch). Mem. Geol. Surv. India, N.S. 9.

. MANGOLD C. (1970) – Les Perisphinctidae (Ammonitina) du Jura méridional au Bathonien et au Callovien. Document des Laboratoires de Géologie de la Faculté des Sciences de Lyon, n° 41, fascicule 2.

ENAY R., HOWARTH M.K. (2019) – Systematic Descriptions of the Perisphinctoidea. Treatise Online n° 120, Part L, Volume 3B, Chapter 7.

Description

Forme générale : 

Section des tours : 

Ornementation : 

Diamètre maximal de l’espèce : 

Âge

Callovien inférieur

Zone à Gracilis, sous-zone et horizon à Prahecquense

Répartition géographique

  • France : Vendée, 

Remarques

Le genre Indosphinctes est scindé en deux sous-genres : les I.(Indosphinctes) pour les formes Macroconques et les I. (Elatmites) pour les formes microconques.

L’espèce I. (I.) errans est une forme originale pour le genre dont les tours ont une section subtrapézoïdale et qui montre des côtes denses et proverses, dont le point de division n’est visible qu’à partir du dernier tour.

L’ammonite présentée ci-dessus, a été découverte dans l’horizon à Prahecquense. En Inde, elle appartient aux horizons équivalents à Diadematus et Rehmanni. , où elle est découverte, comme en Vendée, avec Indosphinctes (Indosphinctes) peregrinus Spath, 1931. La synchronicité des deux espèces et leurs caractères communs (notamment une forme assez involute, des tours externes de section subtrapezoïdale et un ombilic profond orné de côtes fines et proverses) ont conduit Mangold (1970, p. 96) à les mettre en synonymie. Ces deux espèces sont peut-être finalement l’expression d’un degré de maturité différent… Par ailleurs, les formes microconques de ces espèces primitives devraient logiquement afficher des caractères mixtes entre les Homoeoplanulites (Homoeoplanulites) dont elles descendent, et les Indosphinctes (Elatmites) rencontrées un peu plus tard dans la zone à Patina.