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Dactylioceras (Orthodactylites) semicelatum [m]

Spécimen FG7 – Vendée, FRANCE

Diamètre : 40 mm

Collection Patrick Bohain

Toarcien inférieur

Dactylioceras (Orthodactylites) semicelatum forme microconque

(Simpson, 1843)

Phylogénie

Famille : Dactylioceratidae Hyatt, 1867

Sous-famille : Dactylioceratinae Hyatt, 1867

Genre : Dactylioceras Hyatt, 1867

Sous-genre : Orthodactylites Buckman, 1926

Bibliographie

Publications paléontologiques de référence :  

. LACROIX P., RULLEAU L. (2016) – Les Dactylioceratidae du Toarcien inférieur et moyen de l’Ouest de la France récoltés par Marc Bécaud. Le Naturaliste Vendéen N°12 : 3-33.

.RULLEAU L., LACROIX P., BECAUD M. & LE PICHON J.P. (2013) – Les Dactylioceratidae du Toarcien inférieur et moyen. Une famille cosmopolite. Dédale éditions.

. BARDIN et al. (2014) – Lower Toarcian (Jurassic) ammonites of the South Riffian ridges (Morocco): systematics and biostratigraphy. Journal of Systematic Palaeontology, The Trustees of the Natural History Museum, London.

. BOHAIN P. (2025) – Les ammonites du Toarcien inférieur de la Vendée (France). Paléontologie, Biostratigraphie, Paléogéographie. Patrimoine de la Vendée, Géologie – Paléontologie.

 

Description

Forme générale : 

Section des tours : 

Ornementation : 

Diamètre maximal de l’espèce : 

Âge

Toarcien inférieur

Zone à Tenuicostatum, sous-zone à Semicelatum, horizon à Semicelatum

Répartition géographique

  • France : Vendée

Remarques

Plusieurs petits spécimens découverts en Vendée occidentale, qui avoisinent les 40 mm de diamètre, ont été découverts avec d’autres exemplaires de D. (O.) semicelatum de plus grandes dimensions. Ils représentent la forme microconque de l’espèce. La forme platycône de leur coquille, leurs tours comprimés et leurs flancs subparallèles ne sont pas sans rappeler D. (E.) polymorphum microconque ou D. (E.) biscayensis nov. sp. microconque de la sous-zone à Paltus ou D. (Orthodactylites) tenuicostatum microconque. Leur ornementation dense et proverse devient plus flexueuse sur la loge. Ils se rapprochent en tous points des exemplaires du Riff méridional marocain, figurés pour la première fois par Bardin et al. (2014).