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Dactylioceras (Eodactylites) pseudocommune morphe pelotarium

Spécimen FS1 – Vendée, FRANCE

Diamètre : 52 mm

Collection Patrick Bohain

Toarcien inférieur

Dactylioceras (Eodactylites) pseudocommune morphe pelotarium

Fucini, 1935 – Fucini, 1935

Phylogénie

Famille : Dactylioceratidae Hyatt, 1867

Sous-famille : Dactylioceratinae Hyatt, 1867

Genre : Dactylioceras Hyatt, 1867

Sous-genre : Eodactylites Schmidt-Effing, 1972

Bibliographie

Publications paléontologiques de référence :  

. LACROIX P., RULLEAU L. (2016) – Les Dactylioceratidae du Toarcien inférieur et moyen de l’Ouest de la France récoltés par Marc Bécaud. Le Naturaliste Vendéen N°12 : 3-33.

.RULLEAU L., LACROIX P., BECAUD M. & LE PICHON J.P. (2013) – Les Dactylioceratidae du Toarcien inférieur et moyen. Une famille cosmopolite. Dédale éditions

. BOHAIN P. (2025) – Les ammonites du Toarcien inférieur de la Vendée (France). Paléontologie, Biostratigraphie, Paléogéographie. Patrimoine de la Vendée, Géologie – Paléontologie.

 

Description

Forme générale : 

Section des tours : 

Ornementation : 

Diamètre maximal de l’espèce : 

Âge

Toarcien inférieur

Zone à Tenuicostatum, sous-zone à Paltus

Répartition géographique

  • France : Vendée

Remarques

L’ammonite présentée ci-dessus montre des tours internes originaux qui se rapprochent du « morphotype pelotarium » de Fucini.

Les petits spécimens de D. (E.) peloritanum figurés par Fucini (1935) sont mis en synonymie par Rulleau et al. avec D. (Eodactylites) polymorphum. Ils sont serpentiformes et leurs tours sont comprimés. Toutefois, contrairement à D. (E.) polymorphum dont l’ornementation est dense à tous les stades, D. (E.) peloritanum montre plusieurs étapes : les côtes denses et proverses en tout début de croissance s’espacent très rapidement et comportent un épaulement au passage latéro-ventral. Ces attributs sont en tous points identiques à ceux des spécimens immatures appartenant à l’espèce D. (E.) pseudocommune Fucini. La
confrontation des exemplaires 1 et 14 de la pl. 9 de Fucini est tout à fait parlante. Cette position est cohérente avec celle de Pinna et Levi-Setti (1971, p. 90).