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Homoeoplanulites (Homoeoplanulites) ybbsensis

Spécimen IV6 – Vendée, FRANCE

Diamètre : 80 mm

Collection Patrick Bohain

Bathonien supérieur

Homoeoplanulites (Homoeoplanulites) ybbsensis

(Jussen, 1891)

Phylogénie

Famille : Perisphinctidae Steinmann, 1890

Sous-famille : Zigzagiceratinae Buckman, 1920

Genre : Homoeoplanulites Buckman, 1922

Sous-genre (microconque) : H. (Homoeoplanulites) Buckman, 1922

Bibliographie

Publication paléontologique de référence : 

Les Perisphinctidae (Ammonitina) du Jura méridional au Bathonien et au Callovien. Charles MANGOLD. 1970. Document des Laboratoires de Géologie de la Faculté des Sciences de Lyon, n° 41, fascicule 2.

 

Description

Forme générale : 

Section des tours : 

Ornementation : 

Diamètre maximal de l’espèce : 

Âge

Bathonien supérieur

Zone à Retrocostatum, Sous-zone à Hannoveranus, Horizon à Histricoides

Répartition géographique

  • France : Vendée, 

Remarques

Le sous-genre Homoeoplanulites comprend des microconques dont les noms d’espèces devraient normalement, d’un point de vue biologique, être identiques pour les microconques et les Macroconques. L’obligation de créer des sous-genres (douteuse) ou des espèces différentes (limite acceptable), s’explique par le bornage des découvertes qui ne permet pas de reconstituer à coup sûr des couples synchrones. Les microconques, en général de dimensions plus modestes, sont par ailleurs plus difficiles à déterminer car leur stade de développement est plus court et les adultes microconques ressemblent souvent aux seuls tours internes des Macroconques correspondants. Seule la différence de forme des apophyses jugales peut les différencier. Mais elles sont rarement conservées. 

L’indulgence est donc indispensable de la part de nos amis passionnés quant aux déterminations. entre microconque adulte incomplet ou Macroconque juvénile incomplet ou phragmocône d’un adulte incomplet !!! D’autant plus que pour les Homoeoplanulites, les microconques peuvent atteindre un diamètre important de 100 mm…

La seule certitude réside dans la synchronicité des spécimens qui ont été collectés en place, et nous essaierons tant que faire ce peut, de publier des spécimens munis de leurs apophyses…