Choffatia (Subgrossouvria) termieri [M]
Spécimen S85 – Vendée, FRANCE
Diamètre : 130 mm
Collection Patrick Bohain
Callovien supérieur
Choffatia (Subgrossouvria) termieri [M]
(Gerard & Contaut, 1936)
Phylogénie
Famille : Perisphinctidae Steinmann, 1890
Sous-famille : Grossouvriinae Spath, 1931
Genre : Choffatia Siemiradzki, 1898
Sous-genre (Macroconque) : C. (Subgrossouvria) Spath, 1924
Bibliographie
Publication paléontologique de référence :
. Les ammonites de la Zone à Peltoceras athleta du Centre-Ouest de la France. 1936. Le colonel Ch. GERARD & H. CONTAUT. Mémoires de la Société Géologique de France, n° 29.
. English Callovian (middle Jurassic) Perisphinctid ammonites. Part I. 1988. B.M. COX. Monograph of the Palaeontographical Society – London.
. Les genres Subgrossouvria Spath et Orionoides Spath (Ammonitina, Perisphinctidae) de l’Horizon à Leckenbyi (Callovien supérieur, Zone à Athleta) de Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire, France). 2014. Alain BONNOT, Pierre-Yves BOURSICOT & Patrice FERCHAUD. Carnets de Géologie (Notebooks on Geology), vol. 14, n°17.
Description
Forme générale :
Section des tours :
Ornementation :
Diamètre maximal de l’espèce :
Âge
Callovien supérieur
Zone à Athleta, Sous-zone à Collotiformis, Horizon à Collotiformis supérieur
Répartition géographique
- France : Vendée,
Remarques
L’exemplaire présenté ci-dessus est proche de l’Holotype de Gérard et Contaut (1936, pl. VIII, fig. 1).
Le rattachement de l’espèce au genre Choffatia (Subgrossouvria), et non pas au genre Orionoides Spath comme l’avaient imaginé les auteurs de l’espèce, est motivé par sa position stratigraphique : les Orionoides disparaissent dans la sous-zone à Trezeense et par ses tours internes évolutes, subcirculaires qui sont ornés de côtes proverses et de nombreuses constrictions.
C. (Subgrossouvria) termieri se rapproche également de C. (S.) raguini (Gerard & Contaut), espèce un peu plus ancienne de l’Horizon à Piveteaui. Elle s’en différencie par sa forme un peu plus fermée, ses tours plus épais et par ses côtes primaires plus vigoureuses. Elle se rapproche également de C. (S.) rotifer Brown 1849 qui lui est contemporaine et dont elle pourrait bien constituer une grande forme adulte (cf. Cox, 1988, pl. 22)…